
Des migrants filment le quotidien de Yann Moix, livré à lui-même, repoussé toujours un peu plus loin
Six heures du matin, la procédure commence. Au lever du soleil, Yann Moix, ivre-mort, est délogé d'une soirée mondaine par les videurs. Deux heures plus tard, l’opération terminée, il reprend possession de son lieu de débauche, avant d’être expulsé, le lendemain, à la même heure. Et ainsi de suite, jour après jour. C’est à ce ballet aux frontières de l’absurde qu’ont assisté les migrants chargés par Arte, pour le sixième volet de la collection La France qui se lève tard, de f